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Black Superman - Édition limitée Muhammad Ali et Clark Kent

JAËRAYMIE

Black Superman - Édition limitée Muhammad Ali et Clark Kent

JAERAYMIE

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Édition limitée. 50x67cm.

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/// JAËRAYMIE ///

« Black Superman »
Édition limitée originale réalisée en digigraphie en 2017.
Numéroté par l'artiste.
Tirage à 48 exemplaires + 12 Épreuves d'artistes
Signée par l'artiste.
Dimensions sans marges : 50x67cm
Dimensions avec marges : 61x77cm

/// BLACK SUPERMAN ///

« Black Superman » est l'édition limitée réalisée d'après la deuxième œuvre de Jaëraymie réalisée en dehors de son travail de street artiste, et sa première œuvre entièrement peinte sur bois.
Amateur de BD et lui-même boxeur, il a utilisé des personnages iconiques de son enfance et une célèbre image de bande dessinée qu’il a détournée pour faire passer un message.
L’image d’origine est celle de superman serrant la main à Muhammad Ali dans le comic book de 1978 « Superman vs Muhammad Ali ».
Sur l’œuvre de Jaëraymie, Muhammad Ali revêt le costume de superman, tandis que superman porte les vêtements de Muhammad Ali. Cet échange de tenue lui permet d’élever Muhammad Ali au rang de super héros de notre réalité car pour lui il est le vrai super héros du XXème siècle.
Jaëraymie a aussi réalisé une oeuvre similaire à Wynwood Walls, Miami, USA, en janvier 2018, sur un grand mur d'un club de boxe.

/// Biographie de JAËRAYMIE ///

JAËRAYMIE est un Street artist parisien né à Paris en 1986, il vit et travaille à Paris. Il est un artiste autodidacte qui a commencé la pratique de l’art urbain en 2016.  Street Artiste adepte du collage et du pochoir, il intervient dans l’espace public pour surprendre les passants, les faire réagir à une actualité, leur transmettre une émotion ou tout simplement les faire sourire. Il a commencé le street art en 2016. Il s’est fait remarquer avec ses pastiches d’affiches électorales lors des élections présidentielles de 2017, puis s’est fait connaître avec sa série « Le romantisme c’est un truc de bonhomme ». Après un long séjour aux Etats-Unis pour le projet « Excuse my fresque », à Paris, il a répondu à la demande de l’Ambassade de la République Tchèque en France pour faire un mur sur le Champs de Mars à l’occasion des commémorations de 1918-1968 pour lequel il a accompagné son visuel d’une citation de Kundera. Parmi ses réalisations les plus marquantes, notons aussi son mur de 11 mètres de long réalisé pour la journée de la femme afin de sensibiliser au harcèlement de rue, mur légalisé spontanément a posteriori par le maire du 11ème arrondissement de Paris. Puis sa série "Les expressions idiomatiques" pour laquelle il a fait 30 oeuvres sur les murs parisiens et 30 oeuvres réparties dans différentes villes de province aux quatre coins de l'hexagone. Un livre raconte la genèse de cette série et son histoire.  Oscillant entre légèreté et gravité dans les sujets qu’il aborde, il n’est jamais agressif, ni péremptoire. Ses œuvres apportent, pour nombre d’entre elles, un regard singulier, biaisé, ironique et paradoxal sur notre société.