JAËRAYMIE

Le romantisme c'est un truc de cyborg

Disponibilité : In Stock

Nouveau produit

80,00 €

 
Ajouter à ma liste d'envie         Ajouter à ma liste

Édition limitée signée. Dimensions: 61 x 45 cm.

Plus de détails

9 produits ont quitté ...

Partager dans les médias sociaux

JAERAYMIE


"Le romantisme 
c'est un truc de cyborg
 "

Édition limitée.
Signée en bas à droite
Numérotée en bas à gauche sur 48
Dimensions: 61 x 45 cm.

"Le Romantisme C'est un truc de Bonhomme" est l'aphorisme qui a fait connaître Jaëymie et par lequel il incite les hommes à être des gentlemen avec les femmes, le vrai courage masculin pour lui étant d'oser avouer ses sentiments.

Jaëraymie est un Street artist parisien, né à Paris en 1986. Autodidacte, il a commencé la pratique de l’art urbain en novembre 2016. Street Artiste adepte du collage et du pochoir, il intervient dans l’espace public pour surprendre les passants, les faire réagir à une actualité, leur transmettre une émotion ou tout simplement les faire sourire. Il est l’auteur de l’aphorisme «Le romantisme, c’est un truc de bonhomme» par lequel il dénonce le machisme comme démonstration de virilité, invitant les hommes à être des gentlemen avec les femmes. Cette phrase est accompagnée d’images de films célèbres où il remplace les revolvers par des roses rouges. C’est avec ce pochoir et la série de collage du «club des romantiques» qu’il se fait connaître. Actif au sein des réseaux de Street Art parisien, Jaëraymie n’hésite pas à collaborer avec d’autres artistes pour développer des projets «hors-séries». C’est le cas des pastiches d’affiches électorales en collaboration avec Combo à Paris pour lequel il a présenté les affiches de «Marion Cotillon», «Jean Gentilhomme» et «Juste Le Blanc» afin de sensibiliser le public à la question du vote pendant la campagne présidentielle 2017. Cette campagne de détournement d’affiches a été relayée par des médias tel que BFM TV, Le Figaro.Fr, le Figaro.fr culture, 20minutes.fr, Huffington Post, France 3 Grand Soir… Oscillant entre légèreté et gravité dans les sujets qu’il aborde, il n’est jamais agressif, ni péremptoire. Ses œuvres apportent, pour nombre d’entre elles, un regard singulier, biaisé, ironique et paradoxal sur notre société.